Accès au contenu
Mode accessible
Accès au menu principal
Accès au menu secondaire
Menu
○
Ressources
●
Publications
billets
textes
○
Contact
Mémoire
(
PDF
non accessible, 14.2
Mo
)
Cours
sur
Nextcloud
– Nouvelle fenêtre
Site web
Blog :
Grèce 2019
Pour accéder à toutes les fonctionnalités de ce site, vous devez activer JavaScript. Voici les
instructions pour activer JavaScript dans votre navigateur Web
.
✕
Fermer le billet Grèce 2019
Grèce 2019
Photos
Paysages
Histoire
Cuisine
Insolite
11 août 2019
Image 1 :
Dans ma valise au retour (en dehors de l'apparition miraculeuse du papillon) : huiles d'olives extra vierges de Crète, sel rose, poivre au citron, thé d'Olympie, épices à Tsatziki, Gyros, salades et pommes de terre, Ouzos, de quoi faire un café héllénique, et quelques échantillons de marbre de Paros (de petites pierres), dont la pureté (le marbre est d'un blanc immaculé) est célèbre : les carrières de Paros auraient fourni la matière première employée dans la taille de la Vénus de Milo et de la Victoire de Samothrace, entre autres.
EDIT
: Je regarde ces images avec beaucoup d'émotions quand des centaines de milliers d'hectares ont brûlés (plus de 150000 au 31 août 2023), et les incendies sévissent toujours, le brasier aux portes de la capitale.
Image 2 :
La clim, quartier Omonia
Image 4 :
Des orangers en pleine ville, quartier Kolonaki.
Image 5 :
Exarchia, le quartier anarchiste d'Athènes. On m'a reporté qu'en 2008, lors des émeutes en réaction à la crise — la culture du soulèvement étant profondément ancrée dans ce quartier — les jeunes, majoritairement, investissaient les rues, et on pouvait surprendre un vieillard bazardant un pot de fleur sur un agent de police passant par là !
Image 7 :
Les produits de la mer : poissons, crustacés, grillades et autres fritures.
Image 8 :
Vu sur un pan de mur de l'Acropolis
Museum
.
Image 11 :
Coucou
Image 22 :
L'Acropole
Image 24 :
Le "petit" Amphithéâtre
Image 28 :
Le poids de la dette porté par les grec⸱que⸱s ? À propos de la situation actuelle de la Grèce et de sa relation à l'
UE
, tout le monde ne tombe pas d'accord. Un commerçant, à qui j'ai demandé son avis sur la question, m'a exprimé son profond désaccord sur la culpabilisation des autres états européens (l'Allemagne en particulier),
« It's bullshit! »
qu'il m'a dit.
« C'est de notre faute, et celle de personne d'autre »
(sous-entendu les politicien⸱ne⸱s et le peuple). En fin de séjour, j'ai également discuté avec un chauffeur de taxi. De la crise, du couple "Merkozy" (Angela Merkel et Nicolas Sarkozy pour les Grec⸱que⸱s), du travail, de la politique. Il était beaucoup plus incisif sur la posture de l'Europe vis-à-vis des Grecs, et condamne certaines actions passées. Il semblait néanmoins plutôt optimiste quant au futur, même si sa retraite à 67 ans n'arrivera sans doute jamais, a-t-il reconnu. Une voisine grecque lors de mes études à Angoulême me racontait, en dehors de l'Emprise de l'Allemagne sur son pays (Siemens aurait un temps possédé les services de transports en commun, les allemand⸱e⸱s auraient vendu un sous-marin défaillant aux grec⸱que⸱s, la dette allemande de la Seconde Guerre Mondiale on en parle ?, etc), l'hypocrisie du monde du travail : par exemple gagner plus en restant chez soi plutôt qu'en travaillant, ou travailler illégalement. Interprété par certain⸱e⸱s ingrat⸱e⸱s comme de la fainéantise et/ou une tendance innée à la corruption, qui rigole aujourd'hui quand on voit que le travail ne paie plus, que les rémunérations deviennent dérisoires face au coût de la vie ? Les gens s'appauvrissent et c'est un fait, et refuser de travailler à perte n'a rien à voir avec de la mauvaise volonté. C'est de la dignité. Voyez aujourd'hui comme le milieu associatif et/ou militant pallie à toutes les absences de l'État, et dans quelle joie se trouvent les auto-entrepreneur⸱euse⸱s, naissant à tout va, comme autant de nouvelleaux pauvres de ce système.
Image 29 :
Le Parthénon
Image 30 :
La restauration sous le cagnard, chaque rainure poncée à la main, bloc par bloc.
Image 32 :
La ville s'étend aux pieds de l'Acropole par le quartier de Plaka où les nombreux escaliers ont été recouverts de tables par les restaurants et brasseries. Des pierres vieilles de 2500 ans côtoient les nouvelles bâtisses. Au loin, le mont Lycabette, point culminant, qui domine la cité.
Image 37 :
Les oliviers
Image 41 :
Les éléments de ruines semblent scrupuleusement inventoriés.
Image 44 :
Ça passe
Image 46 :
Les mezzes grecs
Image 47 :
Les deux-roues bariolés
Image 49 :
Les devantures de cafés, bariolées elles aussi, dans le quartier de Psiri, au nord de la place Monastiraki.
Image 50 :
Les pâtisseries, douceurs et boissons chaudes de
Nancy
, place Iroon, très prisées pour les pauses sucrées. Composition du goûter ici : jus d'orange pressé, Kadaifs, café crème et profiteroles au chocolat.
Image 52 :
Amarrage sur l'île de Paros, dans les Cyclades.
Image 53 :
Une île de pêcheurs, très habiles dans la fabrication des filets.
Image 54 :
Carte postale
Image 56 :
Upside down
Image 57 :
Imitation de dalles au sol, peintes.
Image 58 :
Des emballages individuels pour des curdents : le plastique c'est fantastique.
Image 59 :
Radio murale, hors d'usage.
Image 60 :
Wood bike
Image 61 :
C'est ballot
Image 62 :
Le drame des
ferries
, qui effectuent d'incessants va-et-vient pour que touristes et locauxales (mais surtout touristes
of course
) puissent atteindre ces îles paradisiaques. Tourisme de masse, qui a sa part de responsabilité dans le réchauffement climatique et dont le processus et sa visibilité s'accélère d'année en année, et auxquels j'ai également participé, entre autres en empruntant l'un de ses géants des mer pour la traversée. Et on le voit aussi sur d'autres photos où ça grouille de monde, la visite de l'Acropole notamment, ça laisse un sentiment assez coupable, et ça se ressent d'autant plus en haute saison, mais partir hors saison est-il plus raisonnable ? Pour la préservation des sites historiques et de l'environnement ? Ou est-ce juste moins bondé, et donc plus "profitable", la mauvaise conscience en moins (puisqu'il n'y a pas foule et qu'on pense moins au effet du tourisme de masse du coup) ?
Image 64 :
Camaïeu de bleus, la mer Égée.
Image 69 :
Raviolis à la viande et au yoghurt.
Image 70 :
Les Souvlakis
Image 74 :
Carte postale #2
Image 75 :
Le cap Sounion
Image 76 :
Le temple de Poséidon. On aperçoit le temple depuis le restaurant à vue pas très loin, on paye 8€ pour avoir sa photo avec le temple en fond. Un peu cher l'entrée pour ce qu'on y voit si l'on est pas passionné⸱e⸱s par cette période historique comme les ruines sont beaucoup plus modestes que d'autres sites, c'est surtout le prix du
selfie
. Et aussi et surtout, il faut le dire, je suis quand même de mauvaise foi si je n'en parle pas, celui de l'entretien, mis à rude épreuve par le tourisme qui piétine continuellement les lieux.
Image 79 :
Système D
Image 82 :
Athènes, territoire des chats