« Il ne faut pas en vouloir aux événements », du 30 novembre 2019 au 16 février 2020. Ci-dessus : Pawel Ferus, « Pay Attention Motherfuckers Remastered (after Bruce Nauman) », 2018.Brochure de l'événement. Ci-dessus : Jan Hostettler, « Meta », 2019.Des nez modelés à partir de la façade d'une maison en voie de démolition : fragilité des constructions humaines, qu'elles soient maison, bâtisse ou statue.Sylvain Baumann et Florine Leoni, « How close we are », 2009. Installation physique et sonore à partir de grilles métalliques provenant de friches industrielles. Filtres et moirages. Entre humanités et dangers. Il n'y a de place pour la présence humaine que si elle est de passage.Jan Hostettler, « Sarmizegetusa », 2015. Un pavé issu des ruines de Sarmizegetusa (Roumanie), dont le matériau a servi pour réaliser cette peinture (à la fois modèle et pigment). L'objet a servi à sa propre représentation.Un bras mécanique qui vous invite à danser sur le morceau de votre choix : « Dancing Companion » par Sofia Durrieu, 2019. Inès P. Kubler, « CWa » (Cake Walk), 2019.« Huggable II — Relaxer » par Sofia Durrieu, 2019. Patric Binda, « Fresko Fragment », 2018.Vapeur. Image. Écran de fumée. Vu à l'Espace International, je n'ai pas pris le soin de noter le nom de l'auteur et de l'œuvre, en revanche les deux artistes en résidence à ce moment sont respectivement Arthur Poutignat pour la restitution « Wonder in limbo » et Petra Hudcová pour « Be right back ».