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- Société
- WTF ?!
Ci-dessus un aperçu de la petite tradition qui s'est mise en place depuis début 2020 à Strasbourg lors des manifestations s'opposant à la réforme des retraites de début d'année. Le siège du candidat LREM aux municipales 2020 — prévues pour mars — également ajoint au maire ; Alain Fontanel, voit les vitrines de son QG recouvertes de tracts militants comme autant d'injonctions à sa politique. Le même sort est réservé à l'enseigne « La fabrique de la ville heureuse » surplombant la devanture, corrigée en fabrique du « rêve général » pour seoir aux circonstances. Agacé par cette dégradation, sans doute plus morale que matérielle pour lui puisque le décollage des flyers et autres stickers revenait aux activistes de son parti, même si des bris de vitres partiels ont été relevés, Alain Fontanel a obtenu un arrêté préfectoral modifiant le parcours initial de la marche contestataire du jeudi 16 janvier 2020. À l'appui, la capture d'une vidéo (source : Rue89 Strasbourg) offrant à la vue un énorme barrage d'agents CRS, empêchant ainsi l'accès aux locaux de Monsieur Fontanel, désormais à l'abri du collage sauvage. « Protégez nos institutions », qu'ils disaient, et si possible les copains, faudrait-il ajouter. Notez que les autres QG de partis sont épargnés, eh oui mais historiquement, les représentants du pouvoir en place sont toujours plus fustigés, ça ne changera pas, surtout quand on est aussi sourd aux revendications citoyennes et qu'on fait preuve d'aussi peu d'humilité. Le quai des bateliers c'est rutilant. Affiche de campagne pour les municipales 2020. Une ville plus forte contre ses habitants ça c'est sûr. Répression, méthodes plus que discutables des services de police avec fichages, interpellations et prélèvements ADN à la volée, arrêtés anti-mendicité et j'en passe. Vu en ville un jour de manifestation. Les publicitaires ont tellement le sens du timing. EDIT : Les affiches de campagne mises à jour depuis l’annonce du recours au 49.3 pour la réforme des retraites. Même sort pour le QG d’Édouard Philippe au Havre.
LH, fière :) ! -
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- Société
- WTF ?!
En ce repas de Noël 2019, j’ai pris connaissance d’une information dont j’ignorais totalement l’existence et qui pourtant me paraît surréaliste. Je souhaitais donc partager les propos que ma grand-mère a tenu ce soir-là.
Dans les années 50, lors des bals populaires, elle et ses amis avaient coutume de s’adonner à une danse des plus what the fuck ; la valse dite « atomique ». Avant d’en débattre, je joins les paroles de la chanson éponyme dont elle nous a fredonné le refrain ainsi qu'un lien pour l'écouter. Son titre est Ah ! La danse atomique (T'as qu'à Ra Boum Dié* !), le morceau est ici interprété par Henri Decker.
*Que j’ai trouvé aussi sous les formes de « Tha-ma-ra-Boum-Di-hé » (je ne sais pas de quelle langue il s’agit ni si s’en est une) et « Ta-ra-ra Boom-De-ay » pour son homologue anglais. Je n’exclue pas une transformation occidentale progressive d’une formule usurpée à une culture extra-européenne… Cependant je n’en devine pas le sens, ni même s’il y en a un finalement. C’est une question à creuser !Une variante, interprétée par Jacques Hélian et son Orchestre cette fois, sur une composition musicale de Henri Bourtayre et les paroles que l’on « doit » à Maurice Vandair selon cette source. Il est possible que la version citée précédemment soit signée des mêmes auteurs.
Évidemment, les paroles sont plus que merdiques et il y a nombre d’allusions racistes, sexistes, etc. à relever. Ce n’était cependant pas ce que je souhaitais soulever à travers ce billet, même si leur lecture en vaut la chandelle en termes d’ignominies.Le titre apparaît sur la compilation Les Chansons de l’Histoire 1945 - 1949, une anthologie des chansons françaises (dont j’ignore la date de parution) : « Avec les voix de Winston Churchill, Bao-Daï, Charles De Gaulle, André Malraux, François Mitterand, Jean Delattre de Tassigny, Philippe Leclerc de Hautecloque, Alphonse Juin, etc. Chansons chantées par Jacques Pills, Charles Trenet, Georges Milton, Henri Decker, Pierre Dudan, Georges Ulmer, Suzy Solidor, etc. ». Liste complète des pistes ici.
Le choix du visuel de l’album me questionne beaucoup, j’ai l’impression que ça n’est pas vraiment représentatif du corpus. L’explosion, le champignon nucléaire, rappellerait la figure de danse — illustrée sur l’affiche ci-dessus (j’ai trouvé pour unique crédit les « éditions Paul Beuscher » au bas de l’image) — qui consiste en un porté, un lancé de sa partenaire (bien que l’affiche propose une version où les rôles sont inversés, il semblerait selon les dires de ma grand-mère, que ça ne se pratiquait que dans le sens attendu, on peut imaginer que la situation se soit présentée dans quelques cas, sur le ton de la plaisanterie sans doute ou pour des raisons de physionomie, inversées là aussi dans l’idée que la société se fait du genre, mais on se doute bien que les mœurs de l’époque n’était pas très permissives à cet égard), un lancé donc de sa partenaire de danse, et comme le voudrait la logique, un rattrapé. C’est là où le problème se pose, si le lancé était un exercice souvent réussi par les hommes, on ne peut pas en dire autant du rattrapage, très loin des prouesses de haute voltige ! Ma mamie nous a assuré qu’au vu des accidents trop nombreux, des atterrissages en catastrophe, cette valse très « particulière » a fini par disparaître, jugée trop dangereuse.
On aurait pu l’interdire aussi pour l’extrême mauvais goût qui me semble véhiculé dans la pratique de cette danse, juste après 45, comme une célébration des bombardements d’Hiroshima et Nagasaki. Ne penser qu’à la victoire des Alliés, non aux dommages collatéraux et pertes civiles énormes engendrées. Leitmotiv de l’après-guerre, comme ce fût le cas dans les dérives sadiques des résistants auprès des femmes tondues pour avoir eu au moins une liaison avec l’ennemi, en l’occurrence le soldat allemand. J’imagine qu’on encourageait ses démonstrations de joies vengeresses à l’époque, sans recul. Les noms cyniques, odieux, des deux bombes A larguées font ironiquement écho au BA-DA-BOOM suivant le comique de la chute féminine évoquée plus haut : Fat Man tombe sur Little Boy, ou Fat Man explose Little Boy.
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Une lecture passionnante, c'est ainsi qu'on m'avait d'ailleurs vendu le livre, Nos Cabanes par Marielle Macé, dont j'ai souhaité partager les références apparaissant en fin d'ouvrage. C'est une petite révolution qu'on se prend volontiers en pleine figure. -
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- WTF ?!
La sororité, OSEF. Un petit feuilleton chez Dépil Tech (enseigne d'épilation définitive), dont on peut encore voir l'un ou l'autre visuel de la com visée par des attaques en justice sur le net, ainsi que les décisions du Jury de Déontologie Publicitaire quand à la poursuite de l'institut dépilatoire. Voici le compte-rendu pour l'image ci-dessus et celui pour la première image en lien. Apparemment, on en demande trop... Par ailleurs, une discussion sur ce forum les inculpe en plus de publicité mensongère, la société vendant un nombre illimité de séances jusqu'à ce que l'épilation définitive fonctionne. Oui sauf qu'au bout de sept séances, si ça n'a pas marché et que vous n'êtes pas satisfaite, vous n'avez qu'à en vouloir à votre pilosité revêche. -
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Exposition dans le cadre de la Regionale 20 intitulée « Il ne faut pas en vouloir aux événements », du 30 novembre 2019 au 16 février 2020.
Ci-dessus : Pawel Ferus, Pay Attention Motherfuckers Remastered (after Bruce Nauman), 2018.Brochure de l'événement.
Ci-dessus : Jan Hostettler, Meta, 2019.Des nez modelés à partir de la façade d'une maison en voie de démolition : fragilité des constructions humaines, qu'elles soient maison, bâtisse ou statue. Sylvain Baumann et Florine Leoni, How close we are, 2009. Installation physique et sonore à partir de grilles métalliques provenant de friches industrielles. Filtres et moirages. Entre humanités et dangers. Il n'y a de place pour la présence humaine que si elle est de passage. Jan Hostettler, Sarmizegetusa, 2015. Un pavé issu des ruines de Sarmizegetusa (Roumanie), dont le matériau a servi pour réaliser cette peinture (à la fois modèle et pigment). L'objet a servi à sa propre représentation. Un bras mécanique qui vous invite à danser sur le morceau de votre choix : Dancing Companion par Sofia Durrieu, 2019. Inès P. Kubler, CWa (Cake Walk), 2019. Huggable II — Relaxer par Sofia Durrieu, 2019. Patric Binda, Fresko Fragment, 2018. Vapeur. Image. Écran de fumée. Vu à l'Espace International, je n'ai pas pris le soin de noter le nom de l'auteur et de l'œuvre, en revanche les deux artistes en résidence à ce moment sont respectivement Arthur Poutignat pour la restitution « Wonder in limbo » et Petra Hudcová pour « Be right back ». -
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Avec André Baldinger, Toan Vu-Huu, Mathias Schweizer, Studio Triple, Félicité Landrivon, Vincent Broquaire et Juliette Etrivert, sur une invitation d'Horstaxe. Exposition visible du 30 novembre 2019 au 16 février 2020 au CEAAC — Centre d'art à Strasbourg. Photographies 3, 4, 5 et 6 : Horstaxe. Affiches violet et cuivre imprimées en sérigraphie par Lézard Graphique. Catalogue de l'exposition présentant les différentes images produites ainsi que les réponses des créatifs invités à la question « Qu'est-ce qu'une super image ? ». Impression Risographie : Les Trames Ordinaires. Publication de mon texte Le Tutoriel :) Point de vente des affiches et de l'édition : https://www.horstaxe.fr/store/ -
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Je conseille le très beau texte d'Aude Launay au sujet de l'exposition : http://www.hear.fr/wp-content/uploads/2019/10/Article-aude-launay.pdf Fireplace, collage vidéo (boucles de 10h), 2018. Lightning Ride, vidéo de séquences d'extases christiques (notamment de scènes où les fidèles, en transe, demandent à se faire taser) sur laquelle est apposé un filtre "Peinture à l'huile", 2017. B0mb, vidéo générative, 2018. Mise en image et en musique du poème Bomb (1958) lu par son auteur Gregory Corso, où des visuels, prélevés aléatoirement parmi une série d'images collectées antérieurement, viennent apporter une réponse tantôt violente tantôt absurde au texte. -
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Une réactivation de l'Édition 1 du 149 a été possible ce samedi 12 octobre à la Glassbox (Paris), dans le cadre du programme Grande Forme 2019. Nous avons assuré la médiation des pièces de 14h à 22h, c'était sport mais très chouette ! Merci aux copaines et curieux.se d'être passé.e.s ! Amorce de Quentin Lannes et Cassandre Poirier-Simon, où l'installation au petit secrétaire recontextualise le spectateur dans l'œuvre ; il se retrouve dans la même position que le protagonniste dans la vidéo, assi à son bureau. La sculpture-fontaine de Lou Masduraud, dont les vapeurs auraient des vertus relaxantes ! Une matière du présent v.2 par Pierre Frulloni et moi-même. The BCC Channel (ép. 5) par The Big Conversation Space (Clémence de Montgolfier + Niki Korth) et Alexander Rhobs, avec un tchat permettant de converser avec eux en direct depuis l'espace d'exposition ou depuis son ordinateur/téléphone personnel. -
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Célio, adepte du gilet jaune. Célébrons tous ensemble l'entreprise « durable », ahem (râclement de gorge). J'ai vraiment lu « j'aime ma bite » au premier coup d'œil. Et si ... ? Ou comment s'en battre les reins des déchets de plastiques et autres dus aux (sur)emballages alimentaires, non pas que j'incrimine les gens qui se commandent à manger sur ce type de plateforme (et le rythme parisien vous conditionne très bien à ne plus vraiment pouvoir vous en passer dans votre course contre la montre quotidienne, entre transports et travail), mais quand même, « Un monde à refaire », ça commence par là ! Le cynisme. -
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Ça y est, la nouvelle forme d'Une matière du présent est prête pour être exposée à la Glassbox le week-end prochain ! Il ne reste qu'à régler les questions de rythme et de poids des fichiers, mais a priori c'est fin prêt :)
Descriptif de l'event à venir :
Exposition pop-up.
Dans le cadre du programme Grande Forme 2019, Le 149 investit la Glassbox le samedi 12 octobre 2019 pour une réactivation des œuvres de l'Édition 1 et une discussion avec Pierre Frulloni, Quentin Lannes, Marjorie Ober et Cassandre Poirier-Simon.
Exposition de 14h à 22h, discussion avec les artistes à 18h et vernissage à partir de 19h.
Glassbox : 4, rue Moret 75011 Paris.